Colignon Alain

Le Docteur Alain Colignon est reconnu pour ses prises de position contre le vaccin anti-COVID et ses choix thérapeutiques lors de la crise sanitaire qui a secoué ces dernières années. Cependant, l'Ordre des médecins a décidé de ne pas le soutenir et a prononcé une suspension de deux ans à son encontre.

Dans son combat contre le vaccin anti-COVID et en faveur d'autres choix thérapeutiques, ainsi que pour s'opposer aux influences des lobbies, le Dr Alain Colignon appelle à une réunion fondatrice d'un nouvel ordre qui rassemblerait non seulement les professions de santé mais également le grand public.

Face à cette situation, un groupe de soutien s'est constitué, et une page Facebook intitulée "Soutien au Docteur Alain Colignon" a été créée, où l'on trouve des témoignages de soutien, des propositions d'actions et des annonces d'événements. L'une de ces annonces est un appel à une réunion fondatrice de "L'ordre européen des praticiens des arts de la santé". Il est important de noter que cette invitation à la réunion du samedi 13 mars n'émane pas seulement du Dr Colignon lui-même, mais elle est également relayée par des membres de son groupe de soutien. Cinquante places sont prévues pour les médecins, 50 pour les infirmières et les professions paramédicales, et 50 autres pour le grand public. "Nous exposerons le projet et ouvrirons le débat", écrit le Dr Colignon. "Nous avons décidé d'inclure tous les soignants au sein de cette institution." Ailleurs sur la page Facebook, on peut lire : "Nous vous attendons comme membres adhérents d'un Ordre qui s'engagera à protéger les droits de tous les patients, préservant ainsi leurs droits les plus sacrés." L'illustration accompagnant l'appel, postée par un membre du groupe, est sans équivoque : "Pour un ordre des médecins qui ne soit plus soumis aux intérêts des lobbies." Des candidats conseillers, issus de professions de santé, sont également sollicités. Parmi les projets envisagés, il semble qu'il y ait un examen du "Serment Universel des Soignants", suivi de la prestation de ce serment, ainsi qu'un examen et une signature d'un "nouveau code de déontologie".