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Google prend une décision radicale et supprime l'application de sa boutique
Dans une nouvelle choquante, il a été révélé qu'un jeu de simulation d'esclavage était disponible en téléchargement sur le Google Play Store pendant plus d'un mois.
Le parquet brésilien a ouvert une enquête pour comprendre comment un tel jeu a pu être publié sur la boutique du géant américain.
Sur les RS, il est possibe d'observer ce type de message
URGENT ! AVIS DE NON-RESPONSABILITÉ CHOQUANT ! Le Play Store, boutique d'applications Android, propose un "jeu" appelé SLAVERY SIMULATOR, dans lequel la "blague" consiste à acheter, vendre, fouetter des Noirs asservis. C'est inhumain, dégoûtant, épouvantable. C'EST CRIMINEL ! Le @unegrobrasil va porter plainte. Nous déposerons une réclamation auprès du Ministère Public pour le délit de RACISME et nous porterons l'affaire jusqu'aux dernières conséquences, de préférence l'arrestation des responsables. L'existence même de quelque chose d'aussi bizarre disponible sur les plateformes montre l'URGENCE de réglementer l'environnement numérique. La PL 2630 est un pas dans cette direction en réglementant une partie de cet écosystème plus large. La régulation des plateformes numériques est un impératif de civilisation contre la barbarie ! PL 2630 OUI ! |
Un simulateur d'esclavage téléchargeable sur le Play Store… De manière incroyable, un jeu vidéo appelé Slavery Simulator, dans lequel les joueurs échangeaient, achetaient et vendaient des personnages noirs, a été publié sur le Google Play Store le 20 avril dernier. Développée par Magnus Games, cette application permettait aux joueurs de choisir entre "la voie du tyran ou la voie du libérateur". Ils pouvaient ainsi travailler pour abolir l'esclavage ou "devenir un riche propriétaire d'esclaves", comme le précisait la description du jeu. En choisissant la seconde option, les joueurs devaient "empêcher l'abolition de l'esclavage et utiliser les esclaves pour accroître leur richesse".
Face à la normalisation de la haine et de la violence, de nombreux utilisateurs brésiliens ont signalé massivement l'application sur le Play Store. De nombreux commentaires racistes étaient présents dans les avis. Cette situation a conduit à l'ouverture d'une enquête pour comprendre comment ce simulateur d'esclavage a pu passer les différentes étapes nécessaires avant d'être publié sur la plateforme.
Google réagit en supprimant définitivement l'application de sa boutique Ce n'est que mercredi dernier, après avoir finalement réalisé que le contenu était inapproprié, que la société Google a réagi en supprimant définitivement l'application de sa boutique.
Dans une déclaration envoyée à CNN Brésil, elle a déclaré : "Nous n'autorisons pas les applications qui encouragent la violence ou la haine envers des individus ou des groupes en raison de leur race ou de leur origine ethnique, ou qui dépeignent ou encouragent la violence gratuite ou d'autres activités dangereuses. Toute personne ayant identifié une application en violation de nos règles peut signaler le problème. Lorsque nous constatons une violation de notre politique, nous prenons les mesures appropriées."
Avant d'être supprimée, l'application avait été téléchargée plus d'un millier de fois et affichait une note de quatre étoiles sur cinq sur le Play Store. Certains commentaires faisaient même référence au plaisir qu'ils avaient pris en jouant, mentionnant toutefois "l'absence de certains outils de torture". Le studio Magnus Games, en partie responsable de ces propos abominables, a depuis déclaré "condamner l'esclavage" et affirme que le jeu a été créé uniquement à des fins de divertissement. Il a également ajouté que le jeu ne se basait pas sur des faits historiques et que toute coïncidence éventuelle était "accidentelle".
Sommes-nous dans une stratégie de BAD BUZZ ?
Un "bad buzz" est un terme utilisé pour décrire une situation où une marque, une entreprise ou une personnalité fait face à une large diffusion de commentaires, d'opinions ou de réactions négatives sur les réseaux sociaux ou dans les médias en ligne. Cela peut être dû à une action controversée, un comportement inapproprié, un produit défectueux, une communication maladroite ou toute autre situation qui suscite l'indignation ou la désapprobation du public.
Le bad buzz peut se propager rapidement et avoir un impact négatif sur la réputation et l'image de la marque ou de l'individu concerné. Les commentaires négatifs, les critiques et les partages viraux peuvent entraîner une perte de confiance des consommateurs, une baisse de ventes ou de popularité, et parfois même des conséquences juridiques.
Dans le contexte des médias sociaux, où l'information circule rapidement et où les utilisateurs ont une voix publique, un bad buzz peut avoir des répercussions significatives sur une entreprise ou une personne, nécessitant souvent une gestion de crise pour atténuer les dommages causés.
Comment influencer le business de ceux qui surfent sur le mépris de la communauté noire ?
L'article la méditation, un outil précieux pour se recentrer adopte une approche métaphysique de la méditation. Il explore la définition de la méditation et souligne la capacité à influencer son environnement grâce au pouvoir de la visualisation. Dans cet exemple particulier, en se concentrant sur l'entreprise qui cherche à exploiter la détresse de la communauté noire pour s'enrichir, la visualisation de son échec dans certaines conditions va activer une vague énergétique qui l'entrainera vers sa chute chaque fois qu'elle tentera de tirer profit d'une situation semblable à celle-ci.
Il est possible de travailler toutes les 3 heures si vous avez le temps ou choisir un moment de connexion : 3h00 - 6h00 - 9h00 - 12h00 - 15h00 - 18h00 - 21h00. Cela permet de travailler en commun et créer un agrégat de consciences qui luttent pour un objectif unique.
La synchronisation énergétique peut se faire en répétant mentalement les phrases ci-dessous en état de relaxation ou en faisant de la visualisation :
Je veux que le studio Magnus Games ne génère aucun profit tant qu'il n'aura pas présenté ses excuses à la communauté Africaine et aux afro-descendants
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